Avec Cole Porter en tête, la nuit se fait élégante

Voilà ce qui arrive quand on repart, la nuit tombée, sous la pluie, avec un air du grand Cole Porter qui vous trotte dans la tête sans arriver à s’en rappeler le titre…

Je quitte Ivry sous la pluie et les éclairages artificiels en fredonnant un air de Cole Porter dont le titre m'échappe.

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

Il pleut encore à Bibliothèque: le plus dur, dans cette nuit irrésistible d'inertie, c'est le trajet encore à venir pic.twitter.com/8WKXzYh65L

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

Gare de Paris-Lyon #Et je fredonne toujours le même air de Cole Porter.

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

Le RER me fait l'honneur d'arriver avec moi. #Je fredonne encore

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

À peine descendu du train et de mon assoupissement, je repars; le train aussi, mais je fredonne toujours. #ColePorter pic.twitter.com/VgBVAsQojR

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

C'est une bruine légère, presque caressante qui descend. La nuit ici, n'engloutit pas: c'est un écrin.

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015

Il y a de l'élégance dans ce que je vois et ressens. Cole Porter en apporte sa part. Vous ai-je dit que j'adorais Cole Porter?

— Luc Bentz (@LucBentz) February 13, 2015